je me force à la dépendance aux ‘lalalalalala’ de Cali, [je vous en ai mis (plein) sur la radio], je lui vole des phrases et les prends pour moi, jamais je n’avais remarqué qu’autant de chansons parlent d’amour…
et je lis et je lis, et je vois mon histoire dans et entre les mots, sur et entre les lignes…tous les livres portent la même histoire.
je tente de recoudre les morceaux de moi éparpillés, et puis non, je ne sais plus où je suis parmi tout ça… je suis un peu (beaucoup) pommée,
mais oui, ne pas s’en faire, après tout, ça va aller…
lalala lalala lalalalalalala

