Deux choses.
Déjà. Je m’étais interdit des mots, dès le début. Pour des raisons poétiques imaginaires. Mais. Il me devient difficile de lui dire juste “bonne nuit”. Et de m’assoupir.
Ensuite. Plus je tente de faire attention à mes gestes, qu’ils soient précis, maitrisés. Plus je suis maladroite. En écrivant ce post dans ma tête la nuit dernière, j’avais trouvé trois solutions possibles :
- passer le 21 mai, c’est-à-dire être tranquille avec mon mémoire ;
- craquer sur le premier problème soulevé dans ce post ;
- prendre un certain traitement régulièrement, même si je les aime mes troubles mentaux nerveux.
Enfin, parce que tout va toujours par trois. Deux choses était un mauvais titre. Donc enfin. Maintenant qu’on a passé trois mois. Tu crois qu’on signe pour un cycle de trois, trente-trois ou trois cent trente-trois ans?

