Fatigue intense façon état d’hypnose, je la retrouve comme une vieille amie. Tombant debout toutes les minutes en attendant le train, tombant assise à l’intérieur, les yeux perdus face à l’écran toute la journée. J’impatiente le retour. Du soir et celui à ma vie anormale.
L’épuisement ouvre une porte entre le conscient et l’inconscient, grâce à laquelle : j’assimile tout, j’écris n’importe quoi, j’analyse, je créativise. Je respire. L’épuisement donne l’abolition des limites, de l’autorisé, des œillères ou des ornières. C’est comme on veut.
Je cherche, dans le dictionnaire des nouveaux mots à aimer pour élargir l’étendue du possible.
9 June 2011 at 09:31
Toujours beaucoup de plaisir à te lire et surtout, de voir que tu continues d’écrire. J’espère vraiment qu’un livre portant ton nom sortira, un jour
9 June 2011 at 22:34
Oh ça me fait plaisir de te recroiser ici, malgré mes longues absences, les déménagements du blog etc.
J’écris toujours, de temps en temps, mais toujours pas sérieusement…
10 June 2011 at 15:41
C’est vrai que le format twitter est très limité, mais si ça pouvait permettre de te lire tous les jours ou en tout cas plus régulièrement, moi j’en serais franchement ravie
10 June 2011 at 17:10
(désolée mon commentaire précédent n’est pas très français, il y a eu un orage assez violent et je l’ai posté avant d’éteindre mon pc en catastrophe ^^)
Si jamais tu prévois d’aller sur twitter ou que tu y es déjà, je me permets de te laisser l’adresse de mon compte.
Au plaisir de te lire
10 June 2011 at 18:13
J’avais bien compris ^^’
Pas encore de compte sur twitter mais si je m’y mets un jour je t’ajouterai bien sûr
A bientôt