En jour de flânerie quasi-organisée, que t’a-t-il pris de balancer, averse et canicule ? De planquer les ruelles et les squares, pour nous envoyer en plein, de si grands boulevards ?
Oranges pressées sous les remises, en questions d’œufs brouillés et de manque de sucre. Exploration partagée sous les voitures, les pieds fuyants à gauche à droite, en grande boucle façon tour de l’européra et puis s’en. Réveillent avec des ampoules et crient toute la soirée. Surtout le droit, va savoir pourquoi.
Peut-être devrais-je me pencher plus en avant sur le surréalisme. Je n’ai aucun vertige aux idées, même si les pierres à l’édifice en rient. Tu vas tomber, tu vas tomber. J’attends tellement ça que. Je suis prête à essayer tous les balcons*.
Le laboratoire-musées des rêves est en projet.
*mon clavier a tenté le double lapsus : avec essuyer et blasons
13 July 2011 at 13:50
Et voilà, comme à ton habitude, les choses qui passent inaperçues deviennent spéciales à travers ton regard… j’aimerai toujours. Et pour la première fois, je peux comprendre le sens du texte ^^
Je suis bluffée par la qualité de ton petit appareil…